J’ai d’abord été un peu déçue par le début du livre, certes très bien écrit, mais avec un style très proche de « certaines n’avaient jamais vu la mer « que j’avais adoré, mais cette fois ci sur un récit qui m’apparaissait de prime abord nettement moins marquant.
Or le vrai livre commence à la troisième partie vers la page 70, quand la narratrice / autrice commence à évoquer la maladie de sa mère, qui ressemble sans l’être à la maladie d’Alzeimer avec la perte progressive de l’autonomie et de la conscience de soi. Raconté avec beaucoup de délicatesse, très émouvant .
Nathalie