Mordillo, c’était une poésie graphique pleine d’humour, soit d’un dépouillement extrême, soit d’enchevêtrements graphiques végétaux et humains propices à l’observation pendant des dizaines de minutes (voire des jours lorsque ses dessins étaient déclinés en puzzles). Il pouvait s’adresser à tous les âges. J’adorais les séries sur la jungle (« Crazy crazy ») ou le Western (« Crazy cowboy »). Mais le plus formidable reste à mes yeux son livre sur les pirates (« Le galion »).
Adieu Mordillo et merci pour tes dessins !
Tous les dessins de cette page ont été glanés sur Internet dans leurs versions les meilleures, puis optimisées et débruitées si nécessaires.
Merci à vous pour cette mise en ligne. Très pratique pour l’enseignant que je suis, la version numérisée du manuel où j’ai repéré une des images n’existant pas.